Help me, even though I'm terrible... [PV]

[HS= merci de ne pas faire du power-game. Je passe pour cette fois, mais j'aurais bien pu arriver par derrière cette fois.]

Je voulais savoir ce que faisait de galoper sur du sable. Mais, prudente, avait commencé au pas. S'échauffer et être en sueur serait très néfaste dans un endroit ou on ne peux pas trouver d'eau. Je prit à un moment le petit trop, mis à peine sentis-je que j'avais un peu soif, je fit demi-tour. Je galopais très vite car la soif se faisait croissante et je me sentais mal. Ma belle robe noire se couvrit d'écume et je haletais. L'entrée du désert me paraissais si loin que je n'aurais pas pu l'atteindre si je n'avais pas cette terrible peur de mourir et surtout de mourir ans l'anonymat. J'avais encore tant à faire en ce monde ! Puis je sentis une drôle d'odeur et je me dirigea vers sa source. C'était une louve noire épuisée. Elle me murmura de l'aider. Aurait-elle été le diable en personne que je l'aurais tout de même aidé. Je la prit par le cou, en essayant de ne pas lui faire mal, et je me remis à galoper, plus vite cette fois. Si j'aurais été très stressée par cette vue d'un corps affaiblit, je l'aurais mit sur mon dos, en oubliant qu'elle tomberait, mais j'avais déjà vu pire.

[ HS :: excuse-moi, je croyais que ça ne serait pas trop trop grave, pour un début de rp... :/ ]

Soudain, elle se sentit soulevée. Elle volait maintenant ? Bizarre. Elle leva la tête vers le cheval qui la tenait, en fait. Il était déjà partit au galop. Tous deux traversèrent le désert à une allure folle. *Il est rapide, ce cheval...* Tant mieux, au moins, la louve sera plus vite en meilleure forme. L'air produite par la course la refroidit, ce qui était bien plus agréable que le sable brulant. Elle ne bougea pas, elle était bien, là. Mais... c'était aussi bizarre... on avait été d'accord pour l'aider.. Bon, d'accord, tant mieux, mais tout de même, qui l'aurait cru ? Surtout un cheval envers un loup. Dulce Muerte prit la parole, se demande au fait comment l'équidé allait lui répondre, sa bouche occupée.


• Qui es-tu ?


Elle regardait au loin, bien qu'il ne fut intéressant... du sable ! Youpi... Elle attendait la réponse de l'autre, les pattes tombantes, qui se balançaient au rythme du cheval. La noire n'avait jamais était sur le dos d'un cheval... ou du moins, accrochée à un. C'était une sensation bien, comme de liberté. Courir au sol, en temps que loup, s'avérait moins bien qu'en temps que cheval, apparemment. Son corps touche constamment l'herbe de la terre. Enfin, cela n'était en fait qu'une question de taille. N'empêche qu'elle savourait ce moment encore inconnue pour elle jusqu'à présent.

Cette louve lui avait demandé qui j'étais. Que lui répondre ? En tout cas, elle semblait mieux et je m'en sentis joyeuse. Mon galop devint plus léger. Je lui répondit :

"Anzel, gument, enzanté"

Pas facile de parler la bouche pleine. Je m'étais sans doute rendue ridicule auprès de cette louve noire. Mais bon, en même temps, je lui avais probablement sauvé la vie, alors ridicule ou pas, la louve ne ferait surement pas de commentaire à propos de ma façon de parler. Et puis ça restait dans les limites du comprenable. Je freina soudain de mes quatre fers et déposa doucement le corps ans le sable. Je l'abritai sous mon ombre et lui dis :

"J'espère que t'as reprit des forces, parce que je viens de me souvenir d'un truc génial : la journée, on creuse un trou et ont y reste, la nuit, on court vers la sortie : t'en dit quoi ?"